Volume II de la communication Agenda 2000, présentée par la Commission européenne le 16 juillet 1997, portant sur le renforcement de la stratégie de pré-adhésion.
Les 12 et 13 décembre 1997, le Conseil européen de Luxembourg décide notamment de lancer le processus global d'adhésion des dix États candidats d'Europe centrale et orientale (PECO) et de Chypre à l'Union européenne.
Le 29 mars 1998, commentant le prochain élargissement de l'Europe des Quinze, le quotidien français Le Monde décrit les difficultés qui entourent les négociations d'adhésion des pays candidats d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne.
Le 30 mars 1998, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Bulgarie, de Chypre, de l'Estonie, de la Hongrie, de la Lettonie, de la Lituanie, de la Pologne, de la République tchèque, de la Roumanie, de la Slovaquie et de la Slovénie à l'Union européenne, Klaus Kinkel, ministre allemand des Affaires étrangères, souligne le caractère historique du prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 30 mars 1998, dans un entretien accordé à Radio France Internationale (RFI), Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, commente l'ouverture prochaine des négociations d'adhésion à l'Union européenne avec six premiers pays candidats.
Le 30 mars 1998, le Conseil "Affaires générales" de l'Union européenne de Bruxelles marque le début du processus d'adhésion à l'Union européenne de la première vague des pays candidats, appelée "groupe de Luxembourg".
Le 30 mars 1998, commentant l'ouverture des négociations d'adhésion avec six premiers pays candidats, le quotidien allemand Die Welt évoque les enjeux du nouvel élargissement de l'Union européenne.
Le 30 mars 1998, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung analyse les défis du prochain élargissement de l'Union européenne et rappelle l'importance pour l'Europe communautaire de réformer ses institutions.
Le 1er avril 1998, au lendemain de l'ouverture officielle à Bruxelles des négociations d'adhésion à l'Union européenne avec la Bulgarie, Chypre, l'Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie, le quotidien économique allemand Handelsblatt détaille les défis économiques et politiques du prochain élargissement de l'Union européenne.
En mai 1998, la Revue du Marché commun et de l'Union européenne commente l'ouverture des négociations d'adhésion avec six pays candidats et décrit les défis du futur élargissement de l'Union européenne.
Le 14 février 2000, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung commente l'ouverture des négociations d'adhésion à l'Union européenne avec la Lettonie, la Lituanie, la Slovaquie, la Roumanie, la Bulgarie et Malte.
"Dans la salle d'attente..." En décembre 2000, évoquant le programme du Conseil européen de Nice, le caricaturiste allemand Hanel ironise sur les lenteurs du processus d'adhésion des pays candidats d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien président de la Commission européenne, évoque les difficultés et la stratégie adoptée par le collège à la fin des années quatre-vingt-dix pour préparer l'élargissement de l'Union européenne aux pays candidats d'Europe centrale et orientale (PECO).
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, représentant permanent du Luxembourg auprès du Conseil des Communautés européennes, puis du Conseil de l'Union européenne, de 1992 à 1998, explique la préparation du processus de négociation censé aboutir à l'élargissement de l'Union européenne aux pays candidats d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 11 décembre 1998, le quotidien français Le Monde expose le point de vue des pays d'Europe centrale et orientale (PECO) sur le processus d'élargissement de l'Union européenne.
Le 1er janvier 1999, le quotidien français Le Monde décrit l'état de préparation des pays d'Europe centrale et orientale (PECO) face à l'Union monétaire européenne (UEM).
En juin 2000, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les conséquences pour les pays candidats d'Europe centrale et orientale (PECO) de leur adhésion à l'Union européenne.
En 2000, le caricaturiste allemand Hanel illustre la longue marche des pays d'Europe centrale et orientale (PECO) sur la voie de l'adhésion à l'Union européenne.
Le 13 novembre 2000, le Parti chrétien-démocrate allemand (CDU) adopte à Berlin une résolution dans laquelle il détaille les différents enjeux du prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 13 novembre 2001, Romano Prodi, président de la Commission européenne, évoque les étapes successives du prochain élargissement de l'Union européenne en invoquant la responsabilité historique de l'Europe.
Le 13 novembre 2001, Günter Verheugen, membre de la Commission européenne responsable pour l'élargissement, prononce devant le Parlement européen un discours dans lequel il dresse un bilan de l'état d'avancement des négociations d'adhésion à l'Union européenne.
Le 13 novembre 2001, le quotidien belge La Libre Belgique détaille l'avancée des négociations d'adhésion à l'Union européenne et évoque la question de l'adoption de l'acquis communautaire par les pays candidats.
En février 2002, lors d'un entretien accordé à la Revue du Marché commun et de l'Union européenne, Günter Verheugen, commissaire européen à l'élargissement, commente les négociations d'adhésion.
Le 22 mai 2002, les ministres des Affaires étrangères de la République de Chypre, de la République tchèque, de la République d'Estonie, de la République de Hongrie, de la République de Lettonie, de la République de Lituanie, de la République de Malte, de la République de Pologne, de la République slovaque et de la République de Slovénie adoptent à Varsovie une déclaration commune sur la phase finale des négociations d'adhésion de leur pays à l'Union européenne.
Le 25 juillet 2002, dans un entretien accordé à l'hebdomadaire allemand Die Zeit, Günter Verheugen, commissaire européen chargé de l'élargissement de l'Union européenne, expose les enjeux et les difficultés du futur élargissement.
"Une aide pour se débrouiller". En octobre 2002, dans le cadre du prochain élargissement de l'Union européenne, le caricaturiste allemand Mohr ironise sur les difficultés auxquelles sont confrontés les pays candidats à l'adhésion.
Les 24 et 25 octobre 2002, le Conseil européen de Bruxelles approuve une série de mesures sur les institutions de l'Union européenne rendues nécessaires par le cinquième élargissement et qui résultent des travaux préparatoires du Conseil "Affaires générales et relations extérieures".
Le 28 octobre 2002, Anders Fogh Rasmussen, Premier ministre danois et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, accueille les pays candidats à l'adhésion à l'Union européenne et leur détaille les résultats du Conseil européen de Bruxelles des 24 et 25 octobre.
Le 8 novembre 2002, quelques semaines avant le Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre devant clôturer les négociations d'adhésion avec dix pays candidats, Eneko Landáburu, directeur général de l'élargissement à la Commission européenne, précise les raisons et les spécificités du cinquième élargissement de l'Union européenne.
Le 19 novembre 2002, Pat Cox, président du Parlement européen, souligne la portée historique du débat sur l'élargissement au Parlement européen en présence des députés des États adhérents à l'adhésion à l'Union européenne.
Le 19 novembre 2002, le Parlement européen organise un débat extraordinaire sur l'avenir de l'Union européenne élargie en présence notamment des députés des parlements nationaux des pays candidats.
Le 19 février 2003, la Commission européenne émet un avis favorable sur l'adhésion à l'Union européenne de la République tchèque, l'Estonie, Chypre, la Lettonie, la Lituanie, la Hongrie, Malte, la Pologne, la Slovénie et la Slovaquie.
Le 14 avril 2003, le Conseil décide d'accepter les demandes d'adhésion à l'Union européenne de la République tchèque, l'Estonie, Chypre, la Lettonie, la Lituanie, la Hongrie, Malte, la Pologne, la Slovénie et la Slovaquie.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002, évoque l'attitude du gouvernement français dirigé par Lionel Jospin face au processus d'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Dans cette interview, Hubert Védrine, ancien ministre français des Affaires étrangères, revient sur les négociations ayant menées à l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États en 2004 et explique la position de la diplomatie française au cours de ces négociations.
Le 3 juillet 1990, le gouvernement de Nicosie adresse à Gianni de Michelis, président en exercice du Conseil, la demande formelle d'adhésion de Chypre à la Communauté économique européenne (CEE).
En 1994, dans un entretien au périodique français Politique internationale, Glafkos Cléridès, président de la République de Chypre, évoque les enjeux internationaux de la réunification de l'île de Chypre.
En 1994, dans un entretien accordé au périodique français Politique internationale, Alecos Michaélidès, ministre des Affaires étrangères de la République de Chypre, commente la demande d'adhésion de son pays à l'Union européenne et justifie la politique extérieure du gouvernement de Nicosie.
Le 30 juin 1997, le ministère turc des Affaires étrangères adresse aux ambassades des quinze pays membres de l'Union européenne une note dans laquelle le gouvernement d'Ankara s'interroge sur la légalité de la demande d'adhésion de la partie grecque de l'île de Chypre à l'UE.
Le 14 décembre 1997, le gouvernement de la République turque de Chypre du Nord critique la décision du Conseil européen de Luxembourg d'ouvrir des négociations d'adhésion avec la partie grecque de l'île.
Le 12 mars 1998, le président chypriote Glafcos Cléridès invite les Chypriotes turcs à participer aux négociations d'adhésion de l'île à l'Union européenne.
Le 14 mars 1998, à l'issue de la réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne à Édimbourg, Hubert Védrine, ministre français des Affaires étrangères, répond aux questions des journalistes sur les futures négociations d'adhésion de Chypre avec l'UE.
Le 25 mars 1998, Rauf Denktash, président de la République turque de Chypre du Nord, adresse à Robin Cook, ministre britannique des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il condamne l'ouverture des négociations d'adhésion de l'Union européenne avec la partie grecque de l'île.
Le 26 mars 1998, la République turque de Chypre du Nord adresse à la Haute Commission anglaise à Nicosie un aide-mémoire dans lequel elle dénonce la demande d'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne.
Le 31 mars 1998, Robin Cook, ministre britannique des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, expose le cadre dans lequel se dérouleront les futures négociations d'adhésion avec la République de Chypre.
Le 15 mars 1999, répondant à une question écrite à l'Assemblée nationale, Hubert Védrine, ministre français des Affaires étrangères, expose la position du gouvernement de Paris à l'égard du processus d'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne.
Le 19 avril 1999, dans le cadre de la troisième Conférence intergouvernementale entre l'Union européenne (UE) et Chypre, George Vassiliou, ancien président de la République de Chypre et négociateur en chef pour l'adhésion de l'île à l'UE, souligne les efforts accomplis par son pays pour se conformer à l'acquis communautaire.
Le 21 juin 1999, dans le cadre de la troisième Conférence intergouvernementale entre l'Union européenne (UE) et la République de Chypre, Ioannis Kasoulides, ministre chypriote des Affaires étrangères, commente l'état d'avancement des négociations d'adhésion de l'île à l'UE.
Le 11 décembre 1999, Rauf Denktash, président de la République turque de Chypre du Nord, dénonce les décisions du Conseil européen d'Helsinki relatives à l'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne.
Le 11 décembre 1999, le quotidien économique belge L'Écho évoque la perspective d'une adhésion de Chypre à l'Union européenne et décrit la difficile situation politique d'une île divisée en deux depuis l'intervention militaire de la Turquie en 1974.
Le 17 juillet 2001, le quotidien français Le Figaro décrit les enjeux du règlement de la partition de l'île de Chypre et prévoit de longues et difficiles négociations d'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 11 septembre 2001, Ioannis Kassoulides, ministre chypriote des Affaires étrangères, accorde au quotidien économique allemand Handelsblatt un entretien dans lequel il s'exprime sur le processus d'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne et sur la partition de l'île.
Le 17 avril 2002, George Vassiliou, ancien président de la République de Chypre et négociateur en chef pour l'adhésion de l'île à l'UE, prononce au Collège d'Europe un discours sur les implications politiques et économiques de l'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 10 octobre 2002 à Nicosie, Adrian van der Meer, le chef de la délégation de la Commission européenne à Chypre remet au président chypriote Glafcos Cléridès, une copie du rapport 2002 sur les progrès accomplis par Chypre en vue de son adhésion à l'Union européenne. A gauche, George Vassiliou, ancien président de la République de Chypre et négociateur en chef pour l'adhésion de l'île à l'UE.
Le 16 avril 2003 à Athènes, le président de la République de Chypre, Tassos Papadopoulos, et son ministre des Affaires étrangères, Georgios Iacovou, signent le 16 avril 2003 à Athènes, le traité d'adhésion de Chypre à l'Union européenne.
Le 27 avril 2004, George Iacovou, ministre chypriote des Affaires étrangères, accorde au quotidien allemand Die Welt un entretien dans lequel il expose les enjeux de l'adhésion de la République de Chypre à l'Union européenne.
Le 24 novembre 1995, Tiit Vähi, Premier ministre de la République d'Estonie, adresse à Javier Solana, ministre espagnol des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, la demande officielle d'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 31 mars 1998, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de l'Estonie à l'Union européenne (UE), Toomas Hendrik Ilves, ministre estonien des Affaires étrangères, décrit la nature des enjeux de l'adhésion de son pays à l'UE.
Le 18 novembre 1999, Mart Laar, Premier ministre estonien, accorde au quotidien économique allemand Handelsblatt un entretien dans lequel il décrit le processus d'adhésion de l'Estonie à l'Union européenne.
Le 26 novembre 1998, Raul Mälk, ministre estonien des Affaires étrangères, prononce au Parlement de Tallinn - le Riigikogu - un discours dans lequel il expose les priorités de la politique du pays à l'égard de l'Union européenne.
En 1999, dans un entretien accordé au périodique français Politique internationale, le président estonien Lennart Meri fait le point sur les relations entre son pays et la Russie et rappelle les liens historiques profonds de l'Estonie avec l'Europe.
Le 19 janvier 2000, lors des débats au Parlement estonien - le Riigikogu - Toomas Hendrik Ilves, ministre des Affaires étrangères, évoque l'état d'avancement et l'importance des négociations d'adhésion du pays à l'Union européenne (UE).
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de l'Estonie à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 11 avril 2002, Kristiina Ojuland, ministre estonien des Affaires étrangères, livre au Parlement national - le Riigikogu - un compte rendu détaillé sur l'état d'avancement des négociations d'adhésion de l'Estonie à l'Union européenne.
Le 18 novembre 2002 à Bruxelles, le Conseil Affaires générales et relations extérieures examine notamment la voie à suivre en vue de conclure les négociations d'adhésion avec Chypre, l'Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, Malte, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie et la Slovénie à temps pour le Conseil européen de Copenhague, les 12 et 13 décembre, conformément aux décisions prises par le Conseil européen de Bruxelles en octobre. Compte tenu des discussions menées au niveau ministériel avec ces pays en marge du Conseil, le Conseil décide que l'adhésion de ces pays à l'Union sera fixée au 1er mai 2004. Sur la photo: Kristiina Ojuland, ministre des Affaires étrangères de l'Estonie en discussion avec Per Stig Moller, ministre danois des Affaires étrangères.
Le 16 décembre 2002, le président de la République, le président du Parlement et le Premier ministre estoniens font une déclaration conjointe dans laquelle ils se félicitent de la conclusion des négociations d'adhésion du pays à l'Union européenne.
Le 15 avril 2003, à la veille de la signature à Athènes du traité d'adhésion de l'Estonie à l'Union européenne, une cinquantaine de manifestants dénoncent à Riga, l'adhésion prochaine de leur pays à l'UE.
Arnold Rüütel, président, et Kristiina Ojuland, ministre des Affaires étrangères, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de l'Estonie, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Dans le cadre du référendum organisé le 14 septembre 2003 en Estonie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, des affiches du Parti conservateur Res Publica sont placardées, comme ici à Tallinn, appelant les électeurs à soutenir l'adhésion à l'UE. Sur la photo : Juhan Parts, Premier ministre estonien, «Dites OUI à l'UE, la vie sera meilleure».
Le 14 septembre 2003, à l'issue du référendum organisé en Estonie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les Estoniens se prononcent massivement (67 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 63 %. Sur la photo, Arnold Rüütel, président de la République d'Estonie, dépose son bulletin de vote dans l'urne.
Le 3 avril 1994, le quotidien français Le Monde commente la décision du gouvernement de Budapest de déposer officiellement la demande d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne.
Le 31 mars 1998, László Kovács, ministre hongrois des Affaires étrangères, se félicite de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne et souligne les efforts de son pays pour satisfaire à l'acquis communautaire.
Le 25 juillet 2000, lors de la conférence des ambassadeurs hongrois à Budapest, Robin Cook, ministre britannique des Affaires étrangères, prononce un discours sur les enjeux de l'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne.
Le 11 septembre 2000, les partis politiques représentés à l'Assemblée nationale hongroise adoptent une déclaration conjointe sur le processus d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne.
Les 8 et 9 novembre 2000, Dick Benschop, secrétaire d'État néerlandais aux Affaires européennes, et Péter Gottfried, chef du secrétariat d'État à l'intégration au ministère hongrois des Affaires étrangères, procèdent à un échange de courrier dans lequel ils évoquent les dernières avancées dans le processus d'élargissement de l'Union européenne.
Le 11 décembre 2000, lors de la conférence des négociateurs en chef à Luxembourg, le Hongrois Péter Gottfried, chef du secrétariat d'État à l’intégration au ministère hongrois des Affaires étrangères, se félicite des avancées positives du Conseil européen de Nice en ce qui concerne le processus d'élargissement de l'Union européenne.
Le Conseil d'association Union européenne-Hongrie tient sa huitième session le mardi 17 juillet 2001 sous la présidence de Janos Martonyi, ministre des Affaires étrangères de la Hongrie. Annemie Neyts-Uyttebroeck, secrétaire d'État, adjoint au ministre des Affaires étrangères de la Belgique conduit la délégation de l'Union européenne. Le Conseil d'association examine l'état de préparation de la Hongrie en vue de son adhésion future à l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 8 avril 2003, quelques jours avant le référendum en Hongrie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung analyse l'état d'esprit de l'opinion hongroise.
Le 12 avril 2003, les Hongrois se prononcent massivement (84 %) par référendum en faveur de l'adhésion de la Hongrie à l'Union européenne. Le taux de participation au référendum est de 46 %. Sur la photo, Viktor Orbán, ancien Premier ministre hongrois, dépose son bulletin de vote dans l'urne.
Le 12 avril 2003, lors du référendum organisé en Hongrie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les Hongrois se prononcent massivement (84 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 46 %. De g. à dr.: László Kovács, ministre hongrois des Affaires étrangères et Péter Medgyessy, Premier ministre, se félicitent des résultats du vote.
Péter Medgyessy, Premier ministre, et László Kovacs, ministre des Affaires étrangères, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la Hongrie, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Le 13 octobre 1995, Guntis Ulmanis et Maris Gailis, respectivement président et Premier ministre de la République de Lettonie, adressent à Javier Solana, ministre espagnol des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne (UE), une lettre dans laquelle ils demandent officiellement l'adhésion de la Lettonie à l'UE.
Le 22 mai 1997, lors du Forum Pro Baltique, Valdis Birkavs, ministre letton des Affaires étrangères, prononce un discours dans lequel il insiste sur l'importance de l'intégration européenne pour son pays.
Le 20 novembre 1997, les chefs de gouvernement letton, estonien et lituanien adoptent une résolution commune sur le renforcement de leur coopération en matière de justice et d'affaires intérieures.
En 1997, le gouvernement letton consigne dans un mémorandum les enjeux du processus d'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne et rappelle les efforts du pays pour satisfaire à l'acquis communautaire.
Le 23 février 1998, un communiqué de presse décrit les principales décisions adoptées lors de la première réunion à Bruxelles du conseil d'association entre l'Union européenne et la Lettonie.
Le 29 avril 1998, Guntis Ulmanis, président de la République de Lettonie, prononce à l'Institut des Affaires étrangères de Rome un discours dans lequel il insiste sur l'importance de l'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 7 mai 1998, Valdis Birkavs, ministre letton des Affaires étrangères, effectue à l'Université de Tartu une visite à l'occasion de laquelle il prononce un discours sur les défis de l'élargissement de l'Union européenne et sur le rôle que peuvent y jouer les pays baltes.
Le 23 septembre 1998, le gouvernement letton expose sa position par rapport à l'élargissement de l'Union européenne et rappelle l'engagement du pays à respecter les critères d'adhésion.
Le 6 octobre 1999, Indulis Berzins, ministre letton des Affaires étrangères, accorde au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung un entretien dans lequel il décrit les enjeux de l'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne.
Le 11 octobre 1999, dans un entretien accordé au quotidien luxembourgeois Tageblatt, Indulis Berzins, ministre letton des Affaires étrangères, évoque les enjeux de l'adhésion de son pays à l'Union européenne.
En 1999, dans un entretien accordé au périodique français Politique internationale, Vaira Vike-Freiberga, présidente de la République de Lettonie, commente le processus d'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 24 janvier 2000, Indulis Berzins, ministre letton des Affaires étrangères, prononce à l'Institut royal des Affaires internationales à Londres un discours dans lequel il met l'accent sur les enjeux de l'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne.
Le 15 février 2000, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne, Indulis Berzins, ministre letton des Affaires étrangères, expose les motivations qui guident son pays.
Le 8 mai 2000, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung décrit les difficultés du processus d'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne, notamment en ce qui concerne ses relations avec la Pologne.
Le 18 octobre 2000, le quotidien français Le Monde rend compte des enjeux de l'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne, notamment en ce qui concerne sa position vis-à-vis de la Russie.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations d'adhésion.
Le 3 septembre 2002, Vaira Vike-Freiberga, présidente de la République de Lettonie, adresse à Romano Prodi, président de la Commission européenne, un courrier dans lequel elle évoque la situation de l'agriculture lettone.
Le 12 décembre 2002, les chefs d'État ou de gouvernement des Quinze réunis lors du Conseil européen de Copenhague, parviennent à un accord politique sur l'adhésion, à compter du 1er mai 2004, de dix nouveaux États à l'Union européenne. De g. à dr., Romano Prodi, président de la Commission européenne, Vaira Vike-Freiberga, présidente de la République de Lettonie, et Einars Repše, Premier ministre letton.
Le 16 avril 2003, Vaira Vike-Freiberga, présidente de la République de Lettonie, et son Premier ministre Einars Repše signent à Athènes le traité d'adhésion de la Lettonie à l'Union européenne.
Le 20 septembre 2003, à l'issue du référendum organisé en Lettonie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les Lettons se prononcent massivement (67 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 73 %. De g. à dr., Maris Gailis, Valdis Birkvas, Andris Berzins et Ivars Godmanis, tous quatre anciens Premiers ministres lettons.
Le 20 septembre 2003, lors du référendum organisé en Lettonie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les Lettons se prononcent massivement (67 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 73 %. Au lendemain du vote, les Lettons célèbrent la victoire du «oui» dans les rues de Riga.
Le 8 décembre 1995, Algirdas Brazauskas, président de la République de Lituanie, et son Premier ministre Adolfas Slezevicius adressent à Javier Solana, ministre espagnol des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, une lettre conjointe dans laquelle ils demandent officiellement l'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne.
Le 10 décembre 1997, évoquant le prochain élargissement de l'Union européenne, le quotidien français Le Monde dresse le portrait des trois États baltes désireux de rejoindre les Quinze.
Le 26 mai 1999, le quotidien français Le Figaro commente la volonté d'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne et s'interroge sur la sécurité de la centrale nucléaire d'Ignalina.
Le 15 février 2000, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne, Algirdas Saudargas, ministre lituanien des Affaires étrangères, pointe les enjeux de cette adhésion pour son pays.
Le 15 février 2000, Algirdas Saudargas, ministre lituanien des Affaires étrangères (au centre), rencontre à Bruxelles Jaime Gama, ministre portugais des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne (à dr.), et Günter Verheugen, commissaire européen en charge de l'Élargissement, dans le cadre des négociations d'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne.
Le 23 janvier 2001, Petras Austrevicius, directeur général du comité européen lituanien et négociateur en chef pour l'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne, prononce à la tribune du Parlement à Vilnius - le Seimas - un discours dans lequel il insiste sur l'importance de l'intégration européenne pour son pays.
Le 23 janvier 2001, le Parlement lituanien - le Seimas - adopte une résolution sur la nécessité de préparer le pays à son adhésion à l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations d'adhésion.
Le 12 décembre 2002, lors du Conseil européen de Copenhague, Valdas Admakus, président de la République de Lituanie, se félicite du succès des négociations d'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 20 décembre 2002, Petras Austrevicius, directeur général du comité européen lituanien et négociateur en chef pour l'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne, dresse un bilan positif des négociations d'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Algirdas Mykolas Brazauskas, Premier ministre, et Antanas Valionis, ministre des Affaires étrangères, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la Lituanie, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Le 8 mai 2003, des festivités pro-européennes sont organisées à Vilnius en vue du référendum des 10 et 11 mai 2003, organisé en Lituanie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne.
Affiche placardée dans un bureau de vote à Vilnius à l'occasion du référendum des 10 et 11 mai 2003 sur l'adhésion de la Lituanie à l'Union européenne.
Les 10 et 11 mai 2003, à l'issue du référendum organisé en Lituanie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les citoyens lituaniens se prononcent massivement (90 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 65 %. Sur la photo, Rolandas Paksas, ancien président de la République de Lituanie, dépose son bulletin de vote dans l'urne.
Le 16 juillet 1990, Guido de Marco, vice-Premier ministre et ministre des Affaires européennes et de la Justice de la République de Malte, adresse à Gianni de Michelis, ministre italien des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil des Communautés européennes, une lettre dans laquelle il demande l’adhésion de Malte à la Communauté économique européenne.
Le 20 avril 1988, l'Union générale des travailleurs maltais adresse au gouvernement de La Valette un mémorandum sur les possibles conséquences de l'adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 22 mars 1990, le Parti travailliste maltais consacre à Senglea sa conférence générale aux futures relations entre Malte et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 16 juillet 1990, Guido de Marco, vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Malte (à g.), et Abel Matutes, membre de la Commission européenne en charge de la politique méditerranéenne, des relations avec l'Amérique du Sud et avec l'Asie et des relations Nord-Sud (à dr.), signent à Bruxelles la demande formelle d'adhésion de la République de Malte aux Communautés européennes.
Le 18 juillet 1990, commentant la demande d'adhésion de la République de Malte à la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien français Le Monde dresse le portrait de l'île méditerranéenne.
Le 25 novembre 1996, lors d'une réunion à Bruxelles du Conseil "Affaires générales", George Vella, ministre maltais des Affaires étrangères, expose les lignes directrices de la politique européenne du nouveau gouvernement de La Valette.
Le 28 avril 1998, lors de la dixième réunion à Bruxelles du Conseil d'association Malte-Union européenne, George Vella, ministre maltais des Affaires étrangères, trace un bilan des relations entre Malte et l'Union européenne.
Le 10 septembre 1998, Guido de Marco, vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères de Malte, renouvelle la demande officielle d'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne.
Le 1er octobre 1998, commentant le changement d'équipe gouvernementale à Malte, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung s'interroge sur la relance du processus d'adhésion de l'île à l'Union européenne.
Le 15 février 2000, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne, Joe Borg, ministre maltais des Affaires étrangères, rappelle l'ancrage européen de son pays.
Le 15 février 2000, Edward Fenech Adami, Premier ministre maltais, évoque les points positifs de l'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 17 octobre 2001, Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, accorde au quotidien Times of Malta un entretien dans lequel il commente l'état d'avancement des négociations d'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne.
Le 12 décembre 2001 à Bruxelles, lors de la cinquième conférence d'adhésion avec Malte, Joe Borg, ministre maltais des Affaires étrangères, brosse un bilan de deux années de négociations d'adhésion à l'Union européenne.
Le 2 août 2002, le quotidien La Libre Belgique titre sur la lenteur des négociations d'adhésion de Malte à l'Union européenne et dresse un portrait de l'île.
Le 24 janvier 2004, lors d'un séminaire organisé à La Valette par la Chambre de commerce de Malte, Edward Fenech-Adami, Premier ministre maltais, tient un discours sur les coûts et sur les bénéfices pour l'île en cas d'adhésion à l'Union européenne.
Le 5 mars 2003, Edward Fenech-Adami, Premier ministre maltais, et les dirigeants des principales organisations professionnelles et syndicales de l'île tiennent à La Valette une conférence de presse au cours de laquelle ils prennent position en faveur du "oui" lors du référendum du 9 mars 2003 sur l'adhésion de la République de Malte à l'Union européenne.
Le 9 mars 2003, Romano Prodi, président de la Commission européenne, se félicite des résultats positifs du référendum organisé à Malte sur l'adhésion du pays à l'Union européenne.
Le 9 mars 2003, un référendum national est organisé à Malte appelant la population à se prononcer pour ou contre l'adhésion de l'île à l'Union européenne. Après dépouillement du scrutin, 53,55 % des votants se sont prononcés en faveur de l'adhésion.
Le 9 mars 2003, jour du référendum national organisé à Malte sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, la foule se rassemble à La Valette devant le bâtiment du gouvernement "L'Auberge de la Castille" dans l'attente de la conférence de presse du Premier ministre maltais Edward Fenech-Adami.
Le 9 mars 2003, Edward Fenech-Adami, Premier ministre maltais, tient à La Valette une conférence de presse à l'issue du référendum national sur l'adhésion de l'île à l'Union européenne.
Le 9 mars 2003 à La Valette, Edward Fenech-Adami, Premier ministre maltais, commente à chaud les résultats du référendum organisé le même jour dans le pays sur l'adhésion de Malte à l'Union européenne.
Le 10 mars 2003, le quotidien français Le Figaro commente la victoire du "oui" lors du référendum organisé à Malte sur l'adhésion du pays à l'Union européenne.
Edward Fenech Adami, Premier ministre, et Joe Borg, ministre des Affaires étrangères, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de Malte, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Le 5 avril 1994, Waldemar Pawlak, Premier ministre polonais, adresse à Theodoros Pangalos, ministre grec des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, une lettre dans laquelle il demande officiellement l'adhésion de la République de Pologne à l'Union européenne.
Le 7 avril 1994, Andrzej Olechowski, ministre polonais des Affaires étrangères, détaille devant le Parlement national à Varsovie les motivations de la demande d'adhésion de la République de Pologne à l'Union européenne.
Le 10 octobre 1996, Dariusz Rosati, ministre polonais des Affaires étrangères, prononce à l'Institut royal des relations internationales (IRRI) à Bruxelles un discours dans lequel il retrace notamment le chemin parcouru par la Pologne entre la chute du mur de Berlin et sa demande officielle d'adhésion à l'Union européenne en 1994.
Le 31 mars 1998, à l'occasion de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, Bronislaw Geremek, ministre polonais des Affaires étrangères, expose la position de son pays par rapport aux futures négociations.
Le 31 mars 1998, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, le quotidien français Le Monde dresse un portrait de la Pologne face aux enjeux communautaires.
Le 10 juillet 1998, en marge des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, près de 7000 agriculteurs polonais manifestent dans les rues de Varsovie pour réclamer des mesures de protection du secteur agricole national.
Bronislaw Geremek, ministre polonais des Affaires étrangères, accorde au périodique français Politique internationale un entretien dans lequel il précise les attentes de son pays à l'égard de l'Union européenne et fait le point sur les difficultés politiques et économiques à surmonter pour réaliser l'adhésion à moyenne échéance.
Le 11 février 2000, le quotidien français Le Figaro expose les enjeux des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, notamment en ce qui concerne le volet agricole.
Le 29 août 2000, le quotidien français Le Monde fait part du désenchantement des citoyens polonais par rapport au déroulement des négociations d'adhésion de leur pays à l'Union européenne.
Le 6 décembre 2000, le chancelier allemand Gerhard Schröder prononce devant le Parlement polonais un discours dans lequel il rappelle le rôle joué autrefois par le chancelier Willy Brandt dans le rapprochement entre la République fédérale d'Allemagne (RFA) et la Pologne et plaide pour l'entrée de la Pologne dans l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République de Pologne à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 29 novembre 2001, Wlodzimierz Cimoszewicz, ministre polonais des Affaires étrangères, prononce au Parlement de Varsovie un discours dans lequel il dresse un bilan à mi-parcours des négociations d'adhésion du pays à l'Union européenne.
Le 1er février 2002, dans la perspective de la fin prochaine des négociations d'adhésion, Wlodzimierz Cimoszewicz, ministre polonais des Affaires étrangères, souligne à Copenhague l'importance de l'intégration européenne pour la Pologne.
Le 9 mai 2002 à Varsovie, Leszek Miller, Premier ministre polonais, lance la campagne de promotion nationale en faveur de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne.
Le 11 juillet 2002, en visite à Varsovie, Günter Verheugen, membre de la Commission européenne responsable pour l'élargissement rencontre le Premier ministre polonais Leszek Miller afin d'évoquer ensemble l'avancement des négociations d'adhésion de la Pologne à l'Union européenne.
Le 18 décembre 2002, Leszek Miller, Premier ministre polonais, prononce à la tribune du Sénat à Varsovie un discours dans lequel il dresse un bilan positif des négociations d'adhésion du pays à l'Union européenne.
Le 21 février 2003, Wlodzimierz Cimoszewicz, ministre polonais des Affaires étrangères, prononce à Prague un discours dans lequel il expose le point de vue de son pays sur la politique de coopération de l'Union européenne à l'égard de l'Europe de l'Est.
Leszek Miller, Premier ministre, et Wlodzimierz Cimoszewicz, ministre des Affaires étrangères, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la Pologne, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Le 4 juin 2003, à l'occasion d'une rencontre entre le chancelier allemand Gerhard Schröder et le Premier ministre polonais Leszek Miller à Lodz, des manifestants protestent contre l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne.
Le 8 juin 2003 à Gdansk, lors du référendum sur l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, l'ancien président polonais Lech Walesa montre son bulletin de vote à la presse sur lequel il a coché la case «oui».
Les 7 et 8 juin 2003, la Pologne organise un référendum sur l'adhésion du pays à l'Union européenne. Le 9 juin, au lendemain du vote, la presse polonaise titre sur la victoire du «oui».
Le 1er mai 2004, à l'occasion de l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres, des opposants à l'intégration européenne dénoncent dans la ville de Lublin, l'adhésion de la Pologne à l'UE et manifestent leur colère autour d'un cercueil sur lequel est inscrit: «1er mai, jour de deuil national».
Le 1er mai 2004, jour de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne, des polonais agitent des drapeaux nationaux et européens à Varsovie, pour marquer leur enthousiasme de voir leur pays devenir membre de l'Union européenne.
"Lumières d'étoiles en Pologne". Le caricaturiste Fritz Behrendt illustre l'espoir des Polonais face à l'adhésion prochaine de leur pays à l'Union européenne.
En 1994, évoquant la création, un an plus tôt, de la République tchèque, Václav Klaus, Premier ministre tchèque, se déclare favorable à l'adhésion de son pays à l'Union européenne tout en distinguant les notions d'Europe et les institutions communautaires et en comparant les concepts de construction européenne et d'intégration européenne.
Le 17 janvier 1996, Václav Klaus, Premier ministre tchèque, adresse à Susanna Agnelli, ministre italienne des Affaires étrangères et présidente en exercice du Conseil de l'Union européenne (UE), une lettre dans laquelle il demande officiellement l'adhésion de la République tchèque à l'UE.
Le 15 avril 1998, en visite officielle à Prague, Pierre Moscovici, ministre délégué français chargé des Affaires européennes, accorde à Radio France Internationale (RFI) un entretien au cours duquel il évoque certains aspects de l'adhésion de la République tchèque à l'Union européenne.
Le 19 novembre 1998, Lionel Jospin, Premier ministre français, prononce devant les étudiants de l'Université Charles à Prague un discours dans lequel il insiste sur le caractère historique de l'élargissement de l'Union européenne et sur l'ancrage européen de la République tchèque.
Le 21 février 2000, dans un entretien accordé au quotidien français Libération, Milos Zeman, Premier ministre tchèque, plaide pour l'adhésion de son pays à l'Union européenne.
Le 16 mai 2000, dans un discours prononcé devant le Parlement tchèque, Vaclav Havel, président de la République tchèque souligne l'importance de préparer le pays à une future adhésion à l'Union européenne.
Le 6 avril 2001, lors d'une visite officielle à Prague, le président de la Commission européenne Romano Prodi prononce un discours sur la place essentielle de la République tchèque au sein de l'Union européenne.
Le 21 mai 2001, le périodique économique tchèque Prague Business Journal détaille les difficultés des négociations d'adhésion à l'Union européenne et évoque le problème de la libre circulation des travailleurs.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République tchèque à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 20 novembre 2001, se tient à Bruxelles, la 7ème session du Conseil d'Association Union européenne-République tchèque, sous la présidence d'Annemie Neyts-Uyttebroeck, secrétaire d'État, adjoint au ministre des Affaires étrangères de la Belgique et présidente en exercice du Conseil de l'Union européenne. Jan Kavan, ministre des affaires étrangères de la République tchèque, conduit la délégation tchèque. A cette occasion, le Conseil d'association examine l'état de préparation de la République tchèque en vue de son adhésion à l'Union européenne et se félicite des progrès accomplis par le pays dans le cadre de la stratégie de préadhésion.
Le 22 février 2002, Jan Kavan, ministre tchèque des Affaires étrangères, prononce à l'European Policy Centre (EPC) à Bruxelles un discours dans lequel il évoque le déroulement des négociations d'adhésion de son pays à l'Union européenne et livre son point de vue sur l'avenir de l'Europe.
Le 30 octobre 2002, dans le cadre des négociations d’adhésion de la République tchèque à l’Union européenne, près de 3000 agriculteurs tchèques manifestent dans les rues de Prague pour réclamer l'égalité de traitement avec les autres agriculteurs européens.
En 2003, Václav Klaus, président de la République tchèque, explique dans l'hebdomadaire allemand Die Zeit sa position par rapport au rôle de l'Union européenne dans le monde.
Václav Klaus, président, et Vladimír Spidla, Premier ministre, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la République tchèque, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Les 13 et 14 juin 2003, à l'issue du référendum organisé en République tchèque sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les Tchèques se prononcent massivement (74 %) en faveur de l'adhésion. Le taux de participation au référendum est de 55 %.
En 2003, évoquant les négociations d'adhésion de la République tchèque à l'Union européenne, le caricaturiste tchèque Jírí Kostýr ironise sur la politique communautaire relative à l'harmonisation des normes.
A la veille de l'adhésion de leur pays à l'Union européenne, de jeunes tchèques manifestent leur enthousiasme en brandissant des drapeaux aux couleurs nationales et européennes durant un concert dans un quartier de la vieille ville de Prague.
Le 27 juin 1995, Vladimir Meciar, Premier ministre de la République slovaque, dépose la demande formelle d'adhésion de la Slovaquie à l'Union européenne.
Le 29 mars 1999, Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, accorde au quotidien slovaque Pravda un entretien dans lequel il commente les enjeux de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 24 juillet 1999, lors d'un discours prononcé à l'Université Charles de Prague, Mikulás Dzurinda, Premier ministre slovaque, dresse un bilan de la politique européenne de son gouvernement.
Le 25 novembre 1999, Eduard Kukan, ministre slovaque des Affaires étrangères, prononce à la Fondation Konrad Adenauer à Bruxelles un discours consacré au processus d'adhésion de la Slovaquie à l'Union européenne.
Le 15 février 2000, le gouvernement de Bratislava définit sa position par rapport aux négociations d'adhésion de la République slovaque à l'Union européenne.
Le 20 mars 2000, lors de la neuvième réunion à Bratislava du comité parlementaire conjoint Union européenne-Slovaquie, Dirk Meganck, négociateur en chef pour l'adhésion de la Slovaquie à la Commission européenne, détaille l'état des négociations d'adhésion de la République slovaque à l'Union européenne.
Le 4 avril 2000, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung détaille l'état d'avancement des négociations d'adhésion de la République slovaque à l'Union européenne.
Le 19 octobre 2000, lors de la conférence économique de Bratislava, Walter Rochel, chef de la délégation de la Commission européenne en Slovaquie, prononce un discours dans lequel il retrace le processus des négociations d'adhésion de la République slovaque à l'Union européenne et insiste sur les efforts du pays pour satisfaire aux critères d'adhésion.
Le 21 février 2001, Günter Verheugen, membre de la Commission européenne en charge de l'élargissement, prononce à l'Université de Kosice un discours dans lequel il décrit les enjeux de l'élargissement de l'Union européenne (UE) et évoque les progrès accomplis par la Slovaquie pour être en position d'adhérer à l'UE.
Le 10 avril 2001, l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, ancien membre du Parlement européen, publie dans le quotidien Luxemburger Wort un article sur l'histoire du peuple slovaque et insiste sur son attachement à l'Europe.
Le 28 mai 2001, le quotidien français Le Figaro décrit le double objectif de la Slovaquie qui est d'adhérer à la fois à l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) et à l'Union européenne.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République slovaque à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Dans le cadre des élections parlementaires des 20 et 21 septembre 2002 en Slovaquie, des affiches du Parti slovaque La Direction-Social-démocratie (Smer) sont placardées, comme ici à Bratislava, appelant les électeurs à rester vigilants face aux conditions d’adhésion du pays à l’Union européenne.
En 2002, Ján Figel, secrétaire d'État au ministère slovaque des Affaires étrangères et responsable de la délégation pour l'adhésion de la Slovaquie à l'Union européenne, expose dans la revue autrichienne Europäische Rundschau les efforts économiques et politiques de la Slovaquie pour pouvoir adhérer à l'Union européenne.
Rudolf Schuster, président, et Mikuláš Dzurinda, Premier ministre, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la République slovaque, le traité d'adhésion à l'Union européenne.
Le 13 mai 2003, en prévision du référendum des 16 et 17 mai sur l'adhésion de la Slovaquie à l'Union européenne, des dirigeants et leaders des principaux partis politiques slovaques militent dans les rues de Bratislava en faveur de l'adhésion du pays à l’UE. De g. à dr.: Dušan Caplovic, membre du Conseil national de la République slovaque, Mikuláš Dzurinda, Premier ministre, Rudolf Schuster, président de la Slovaquie, Bela Bugar, président du Parti de la coalition hongroise (SMK), Pavol Hrušovský, Président du Mouvement chrétien-démocrate (KDH), Pavol Rusko, Président du Parti Alliance du nouveau citoyen (ANO) et Vladimír Meciar, Président du Mouvement pour une Slovaquie démocratique.
Les 16 et 17 mai 2003, à l'issue du référendum organisé en Slovaquie sur l'adhésion du pays à l'Union européenne, les citoyens slovaques se prononcent massivement (93 %) en faveur de l'adhésion à dater du 1er mai 2004. Le taux de participation au référendum est de 52 %.
Le 10 juin 1996, Janez Drnovsek, Premier ministre slovène, adresse à Lamberto Dini, ministre italien des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, une lettre dans laquelle il demande officiellement l'adhésion de la République de Slovénie à l'Union européenne.
Le 31 mars 2001, le quotidien La Libre Belgique souligne les efforts entrepris par la Slovénie pour se mettre en position d'adhérer à l'Union européenne.
Le 26 juin 2001, le Conseil d'association UE-Slovénie tient sa troisième session à Luxembourg, sous la présidence d'Anna Lindh, ministre des affaires étrangères de Suède et présidente en exercice du Conseil de l'Union européenne. Dimitrij Rupel, ministre des affaires étrangères de la Slovénie, conduit la délégation slovène. A cette occasion, le Conseil d'association examine l'état de préparation de la Slovénie en vue de son adhésion à l'Union européenne et passe en revue les progrès accomplis par le pays dans le cadre de la stratégie de préadhésion et réfléchit aux priorités pour la suite des travaux à mener.
Le 11 juillet 2001, évoquant l'élargissement programmé de l'Union européenne, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dresse un portrait de la République de Slovénie.
Le 5 septembre 2001, le Parlement européen adopte une résolution sur la demande d'adhésion de la République de Slovénie à l'Union européenne et sur l'état d'avancement des négociations.
Le 21 décembre 2001, Janez Potocnik, responsable de la délégation slovène pour l'adhésion à l'Union européenne (UE), se félicite à Bruxelles des conclusions du Conseil européen de Laeken et de l'état d'avancement des négociations d'adhésion de la République de Slovénie à l'UE.
Le 15 avril 2002, lors de la quatrième réunion à Luxembourg du conseil d'association Union européenne-Slovénie, Dimitrij Rupel, ministre slovène des Affaires étrangères, détaille les progrès accomplis par son pays pour se mettre en position d'adhérer à l'Union européenne.
Le 22 mai 2002, évoquant l'élargissement programmé de l'Union européenne (UE), le quotidien français Le Monde dresse un portrait de la République de Slovénie et commente l'état d'avancement des négociations d'adhésion du pays à l'UE.
En décembre 2002, la délégation slovène pour les négociations d'adhésion de la République de Slovénie à l'Union européenne résume les principales dispositions relatives au paquet financier accordé au pays par l'UE.
Le 13 décembre 2002, Dimitrij Rupel, ministre slovène des Affaires étrangères, commente la fin des négociations d'adhésion de la République de Slovénie à l'Union européenne et souligne l'importance de la construction européenne.
Le 23 mars 2003, à l'issue du référendum organisé en Slovénie sur l'adhésion du pays à l'OTAN et à l'Union européenne, les Slovènes se prononcent massivement (90%) en faveur de l'adhésion à l'Union européenne à dater du 1er mai 2004. Le taux de participation au référendum est de 55%.
Janez Drnovšek, président, et Anton Rop, Premier ministre, signent le 16 avril 2003 à Athènes, en représentation de la Slovénie, le traité d'adhésion à l'Union européenne.